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Curio Junior : Au début de la cuisine était le feu

D'où vient le feu ?

Et depuis quand cuisine-t-on ?

En fouillant le sol, les archéologues ont retrouvé la trace de grands incendies qui ont dévasté les premières forêts de notre planète il y a 375 millions d’années, bien avant l’apparition des dinosaures et de l’Homme.

Le feu, en effet, est quelque chose de naturel, qui a toujours existé. Il pouvait être produit par les volcans, ou naître du mélange de gaz émis par des plantes et des cadavres d’animaux qui pourrissaient. 

Mais, le plus souvent, nos ancêtres ont dû rencontrer des feux provoqués par la foudre tombée du ciel pendant les orages.

L’homme rencontre le feu !

Les éclairs, la foudre, le feu, les incendies… devaient, pour eux, être des monstres mystérieux qui les terrifiaient. C’est d’ailleurs pour cela que l’Homme a fait de ces choses des dieux dans beaucoup de religions. Si tu regardes sur internet une représentation du dieu grec Jupiter, tu le verras tenant dans la main des éclairs prêts à foudroyer les Hommes.

Mais, comme toujours dans l’évolution de notre espèce, il y a dû avoir un(e) ou plusieurs homme(s)/femme(s) plus courageux(se) que les autres et, surtout, plus curieux(se) (on te dira parfois que la curiosité est un vilain défaut, c’est vrai par rapport à la vie des autres, mais c’est une qualité pour ceux qui veulent découvrir).

Et cet(te) homme ou femme, alors que les autres membres de son clan s’enfuyaient, a dû rester et s’avancer vers cette drôle de chose rouge qui était très chaude et qui dansait devant lui/elle.

Il/elle a dû apercevoir un morceau de bois à moitié brûlé avec, à son extrémité, une de ces choses rouges et chaudes, qu’on n’appelait pas encore flamme à l’époque. Ce bois, il/elle l’a ramassé et rien ne s’est passé, il/elle avait juste un peu plus chaud. Par contre, lorsqu’il/elle retournait la flamme vers les autres animaux qui étaient près de lui/d’elle ou vers ses amis qui revenaient, ils s’enfuyaient  tous aussi ! Drôle de réaction…

Selon lui/elle, cette branche avait une sorte de pouvoir magique, elle maintenait les autres et, surtout, les animaux loin de lui/elle, elle le/la protégeait.

Et si avec cette branche, il/elle touchait un autre morceau de bois, eh bien ce bois, à son tour, devenait « magique », il s’allumait. Il/elle a alors joué avec ce feu jusqu’à la fin du jour pour constater que, une fois le soleil disparu, lui/elle, avec son bois et cette flamme, il/elle continuait à voir autour de lui/d’elle !

L'Homme fait du feu son ami

Cette flamme, il/elle l’a ramenée au camp et tout le monde a pu constater que la nuit n’était plus la même. Tous continuaient à se voir et à voir ce qui se passait autour d’eux. De plus, les animaux que, d’habitude, ils devaient chasser en criant et en sautant, n’osaient plus s’approcher du camp. Vraiment, ce bâton et cette flamme, c’était quelque chose de super intéressant et de pratique. Il fallait le garder, ne pas le laisser partir, continuer à avoir d’autres bois pour garder cette chaleur, cette lumière et cette protection contre les animaux. Notre ancêtre avait compris l’utilité du feu !

Mais on mange quand ?

Une autre fois, un(e) homme/femme (était-ce le/la même ou un(e) autre, on ne le saura jamais) a dû passer dans la forêt après qu’elle a été ravagée par un incendie. Là, il /elle a dû trouver les restes d’animaux morts qui n’avaient pas pu échapper aux flammes. Et ce jour-là, comme depuis plusieurs jours, comme la chasse avait été mauvaise, la faim tenaillait les ventres des membres du clan. Ces restes d’animaux morts et grillés, pourquoi ne pas s’en servir ? C’était laid, noir, avec une autre odeur que celle du gibier fraîchement abattu mais, comme dit le dicton « Ventre affamé n’a pas d’oreilles et certainement encore moins d’yeux et de nez ». Il/elle s’est penché(e) sur le reste de la carcasse encore fumante et il a mordu pour en retirer un morceau de chair brûlée ou plutôt cuite. Et là, surprise, cette viande qu’il/elle connaissait pourtant avait un très bon goût, même meilleur, et était beaucoup plus facile à mâcher que la viande crue !!!

En cuisine !

Dorénavant, ce feu qui les éclairait, qui les réchauffait, qui tenait les animaux éloignés du camp, eh bien ils allaient faire cuire dessus ce qu’ils ramenaient de la chasse. Nos ancêtres ne se nourriraient plus de viande crue.

Le premier ustensile de cuisine fut certainement la lance dont un homme qui venait de tuer une proie se servit pour enfiler l’animal et la tenir au-dessus du feu pour le faire rôtir. La première broche était née !

La cuisson de la nourriture par nos ancêtres de la préhistoire leur permit de ne plus être aussi souvent malades, en mangeant des aliments peu frais ou toxiques. Encore aujourd’hui, on sait qu’il faut bien cuir les aliments pour faire disparaître les microbes.

La cuisson leur permit aussi d’augmenter l’énergie qu’ils retiraient des aliments et de les rendre plus faciles à digérer. Leur alimentation devenant meilleure, leur santé s’améliora également. Il y eut moins de morts, les femmes en meilleure santé purent avoir plus d’enfants et le cerveau de ces premiers individus, qui reçut plus de vitamines, se développa davantage.

On agrandit la cuisine !

En plus de la cuisson à la broche, ils firent cuire aussi la viande coupée en tranches sur les pierres chaudes qui entouraient le feu. Sur ces pierres, ils firent aussi cuire des céréales écrasées mélangées avec de l’eau. Ce furent leurs premiers « gâteaux ».

Mais la viande, même cuite, se détériorait après quelques jours (il suffit de voir l’aspect d’un reste de plat oublié dans le frigo. Beurk…)

Un jour, un morceau de viande a dû rester longtemps au-dessus du feu mais loin de la flamme, en attendant d’être cuit à son tour. Ce morceau de viande n’avait pas été vraiment cuit directement, il avait seulement reçu de la fumée et de la chaleur. Encore une fois, c’était très bon ! 

De plus, préparée de cette manière, la viande se conservait beaucoup plus longtemps. L’Homme venait d’inventer la manière de fumer la viande pour la conserver.

Jusque-là, l’Homme ne savait cuire au feu que des aliments solides. Un jour, des milliers d’années plus tard, après qu’il eut inventé les paniers d’osier (mais ça, c’est une autre histoire que nous te raconterons un jour), un de ces paniers recouvert d’argile a dû se retrouver, par hasard, assez proche du feu, et l’eau qu’il contenait s’est mise à chauffer et à bouillir.

Ce jour-là, l’Homme comprit que l’eau chaude pouvait faire cuire les légumes et toutes sortes de choses. Les soupes étaient nées.

On ne fait pas que manger tout de même !

Tu le vois, le feu est vraiment quelque chose d’important dans notre évolution. 

Notre alimentation, comme tu l’as vu, va s’améliorer. Mais pas que !

L’Homme qui a su se chauffer a pu partir à la conquête de nouveaux territoires plus froids. Il a pu améliorer ses armes pour chasser et se défendre. Avec le feu, on peut facilement faire durcir la pointe des lances de bois par exemple. Et puis, le feu autour duquel on se chauffait, autour duquel on mangeait, permit aussi de développer et d’enrichir les relations entre les membres de la tribu. Selon certains, même s’il n’a pas créé le langage, le feu a certainement dû contribuer à le développer. Souviens-toi des veillées autour d’un feu… Quoi de plus agréable que de parler et de se raconter des histoires en regardant les flammes rougeoyer !

Mais l’homme et le feu, ça date de quand ?

Savoir exactement quand l’Homme a découvert le feu n’est pas facile.

Les plus anciens feus retrouvés, qui semblent avoir été utilisés par l’Homme, car on retrouve des restes de bois brûlé, des silex taillés et des restes de repas, auraient 800 000 ans !

Mais ce sont surtout des feux datant d’il y a 400 000 ans qui nous prouvent vraiment que l’Homme avait domestiqué le feu.

À cette époque, on retrouve des feux bien aménagés, des petites fosses avec, dans le fond, des dalles ou des galets, et on voit aussi que, parfois, ils étaient protégés du vent par de petits murets de pierres. 

Le feu, comment ça marche quand on n’a pas d’allumettes ?

Les hommes préhistoriques ont vraisemblablement utilisé deux techniques pour allumer le feu.

D’abord, on tord le cou à une légende, deux fragments de silex frappés l’un contre l’autre ne produisent pas d’étincelle efficace pour produire une braise. Donc ça, on oublie, ça ne marchait pas et ça ne marche toujours pas !

Pour faire un feu, il fallait avoir d’une part un morceau de roche dure, telle que du silex ou du quartzite et, d’autre part, un morceau de marcassite ou de pyrite, des pierres qui contiennent du fer.

Frapper ces deux éléments l’un contre l’autre va produire une étincelle. Cette dernière, si elle tombe sur un petit tas d’une matière très inflammable, comme de l’amadouvier, un champignon qui pousse un peu partout, une braise se forme. Il suffit alors d’approcher des brindilles bien sèches de cette braise pour qu’elles s’enflamment. Et hop, un bon feu !

L’autre méthode, c’est la friction, ce qui signifie « frotter ».

Dans ce cas, le feu est obtenu par le frottement de deux morceaux de bois : l’un est une tige que l’on a taillée en pointe et que l’on cale, en bas, dans une encoche découpée dans un autre bois. On fait tourner très vite le bois pointu dans celui du dessous, ce qui va produire de la chaleur (frotte très fort ta main sur ton bras, tu vas voir, ça devient chaud. Rassure-toi, tu ne t’enflammeras pas). Cette chaleur intense va produire de la braise. Une fois la braise obtenue, il faut approcher, par exemple, des herbes sèches. Et re-hop, un second bon feu !

Voilà l’histoire des débuts de nos ancêtres pour apprendre à domestiquer le feu et améliorer leur nourriture. Après, durant des millénaires, le combat pour manger restera certainement le principal combat de l’Homme.

Il lui faudra des siècles et des siècles de lutte pour arriver à la situation que nous connaissons aujourd’hui : une nourriture saine et abondante.

Mais attention, ce qui est valable pour nous et pour une grande partie de la planète n’est pas encore valable partout. Il reste hélas encore de nombreux endroits sur notre terre où des gens meurent de faim. L’invention du feu et de la cuisine n’a pas encore tout résolu. Et, là encore, la solution ne dépend que de l’Homme, pour avoir enfin une planète où tout le monde mange à sa faim.

Et maintenant...

... à ton tour de te mettre aux fourneaux !

Grâce à nos ancêtres, nous avons aujourd’hui la possibilité de cuire, de cuisiner et donc de faire… de la pâtisserie !

Comme on est sûrs que tu es un(e) grand(e) gourmand(e) et que tu adores manger des gâteaux, on a demandé l’aide d’une spécialiste pour te proposer des recettes super faciles à réaliser et, surtout, teeellement délicieuses !

Tu la connais peut-être, il s’agit de Valériane, une maman qui a participé à l’émission télévisée « Le meilleur pâtissier ». Du coup, les cookies, les biscuits, les gâteaux et le chocolat, c’est sa spécialité ! Elle propose plein de chouettes recettes sur son site internet et aujourd’hui, elle a accepté de nous donner quelques secrets pour que tu puisses te régaler… Prêt(e) ?

Attention !

Pour faire de la pâtisserie, tu vas devoir utiliser des outils coupants et le four ou l’appareil à gaufres. Il est donc très très important de faire super attention de ne pas te blesser et, surtout, d’obligatoirement te faire aider par un adulte ! Si tu cuisines seul(e), tu risque de te faire mal et de peut-être faire des bêtises. Demande donc l’aide de ton papa, de ta maman ou d’un adulte qui vit avec toi.

Recette n°1 : les cookies aux Smarties

Voici la liste des ingrédients qu’il te faut :

  • 120 g de beurre pommade
  • 120 g de cassonade
  • 1 œuf
  • 250 g de farine
  • 1 cuillère à café de poudre à lever
  • 100 g de pépites de chocolat
  • Des Smarties

Un peu de vocabulaire…

Un beurre pommade, c’est un beurre mou, qui est à température ambiante et que tu as travaillé, écrasé, mélangé jusqu’à il ait la texture bien lisse d’une pommade.

La poudre à lever, ou levure, est une poudre qui permet à tes préparations de gonfler, pour être bien moelleuses.

Le déroulement :

  • Dans un bol, mélange le beurre pommade avec la cassonade.
  • Ajoute l’œuf.
  • Ensuite, ajoute la farine, la poudre à lever et mélange jusqu’à ce que la pâte soit homogène.
  • Termine en ajoutant les pépites de chocolat.
  • Lave-toi bien soigneusement les mains. Une fois que c’est fait, forme de petites boules de pâte avec tes mains, aplatis-les et dépose-les sur une feuille de papier cuisson.
  • Avec l’aide d’un adulte, enfourne tes boules de pâte et cuis-les à 180° pendant 15 minutes. Pour ne pas dépasser le temps de cuisson, demande à un adulte d’enclencher une minuterie.
  • Après 11 minutes, quand la pâte n’est pas encore tout à fait cuite, retire-les du four et mets les Smarties sur le dessus. On le fait plus tard pour éviter qu’ils décolorent.

Recette n°2 : les gaufres de Liège

Voici la liste des ingrédients qu’il te faut (pour 9 gaufres) :

  • 21 g de levure fraîche
  • 135 g de lait tiède
  • 375 g de farine
  • 1 jaune d’œuf
  • 1,5 œuf
  • 15 g de cassonade
  • 5 g de sel
  • 200 g de beurre pommade
  • 150 g de sucre perlé

Le déroulement :

  • Dans le bol de ton robot, dilue la levure dans le lait tiède (pas trop chaud !).
  • Ajoute la farine, les œufs, le jaune d’œuf, la cassonade et le sel. Pétris le tout au robot muni du crochet pendant 5 minutes à petite vitesse.
  • Ajoute petit à petit le beurre pommade et pétris 10 min à petite vitesse. Tu dois obtenir une belle pâte élastique.
  • Forme une boule dans le fond de ton bol et filme celui-ci. Laisse reposer à température ambiante 1h30.
  • Ajoute le sucre perlé et mélange le tout à l’aide d’une spatule.
  • Fais des boules de pâte (avec des mains bien propres), pose-les sur du papier cuisson et laisse reposer 20 minutes.
  • Toujours avec l’aide d’un adulte, cuis la pâte dans un gaufrier avec, si possible, les plaques spécifiques pour les gaufres de Liège (mais sans celles-ci, elles seront tout aussi délicieuses et gourmandes !)

Recette n°3 : le roulé au chocolat

Voici la liste des ingrédients qu’il te faut :

  • 5 œufs
  • 150 g de sucre fin
  • 150 g de chocolat noir
  • 250 g de crème liquide 35%
  • Sucre glace

Un peu de vocabulaire…

De la crème liquide 35%, c’est de la crème dans laquelle il y a 35% de matières grasses. Pour faire une chantilly réussie, il est important que la crème utilisée ait suffisamment de matières grasses car c’est cette matière grasse qui permet de donner une chantilly nuageuse et aérée.

Le sucre glace, ou sucre impalpable, est un sucre en poudre très très fine, presque comme de la farine.

Le déroulement :

  • Mélange les jaunes d’œufs avec le sucre. Ton mélange doit doubler de volume.
  • Avec l’aide d’un adulte, fais fondre le chocolat au micro-ondes avec 3 cuillères à soupe d’eau.
  • Mélange le chocolat fondu au mélange précédent.
  • Bats fermement les blancs en neige et mélange le tout délicatement à l’aide d’une spatule.
  • Dépose cette mousse sur un tapis à génoise que tu auras graissé auparavant.
  • Avec l’aide d’un adulte, enfourne ta pâte et cuis-la à 170°C pendant 20 minutes (n’oublie pas de mettre la minuterie).
  • À la sortie du four, recouvre le biscuit d’un essuie pour garder l’humidité.
  • Bats la crème en chantilly.
  • Quand ta génoise a refroidi, tapisse-la de crème fraîche battue et roule-la en t’aidant du tapis.
  • Décore ton gâteau en le saupoudrant de sucre glace.

Un peu de vocabulaire…

Une génoise est une pâte à biscuit légère à base d’œufs battus.

Une crème chantilly est une crème fouettée sucrée, parfois aromatisée.

Pour avoir d’autres super idées de recettes à réaliser en famille, dis à ton papa ou à ta maman d’aller jeter un œil sur le compte Facebook ou le compte Instagram de Valériane !

Bon appétit !

Pour t'occuper pendant les temps de cuisson...

Parce qu’attendre que ça cuise, c’est le moment le moins marrant, voici de quoi t’occuper !

Des coloriages...

... et des activités créatives super rigolotes !

Pour colorier et classer les fruits et légumes, c’est par ici !

Et pour peindre avec des pommes, c’est par ici !

Réponses épisode « Petite histoire du sport » :

Quiz

Les JO n’ont pas eu lieu en 1916, en 1940 et 1944 à cause…

  • D’épidémies ?
  • De guerres ?
  • D’inondations ?

Les 5 anneaux du logo des JO représentent les 5 continents : le noir représente l’Afrique et le vert représente l’Océanie. Que représentent les trois autres anneaux ?

  • Le jaune l’Asie, le bleu l’Europe et le rouge l’Amérique.
  • Le jaune l’Europe, le bleu l’Asie et le rouge l’Amérique.
  • Le jaune l’Amérique, le bleu l’Asie et le rouge l’Europe.

La devise latine des JO est « Cituis, Altius, Fortius ». Cituis signifie « plus vite », Altius signifie « plus haut ». Que signifie « Fortius » ?

  • Plus beau ?
  • Plus fort ?
  • Plus malin ?

En 1924, un grand événement olympique a lieu pour la première fois. De quoi s’agit-il ?

  • Les Jeux olympiques pour chiens et chats ?
  • Les Jeux olympiques d’hiver à Chamonix ?
  • Les Jeux olympiques des stars de la musique ?

L’épreuve sportive qui consiste à courir en évitant des obstacles aux Jeux olympiques est…

  • Le 110 m haies ?
  • Le 110 m murs ?
  • Le 110 m portes ?

Deux de ces 5 activités ne sont pas des activités olympiques. Lesquelles ?

  • La course de Formule 1 ?
  • L’aviron ?
  • Le lancer du marteau ?
  • Le 100 m ?
  • Le tir à la mitrailleuse ?

Aux Jeux, les athlètes ne peuvent pas avoir recours au…

  • Dopage ?
  • Maquillage ?
  • Fromage ?

Labyfoot :

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Avant de partir...

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